La crise et le plan de relance du Parti socialiste au menu de la réunion organisée par la fédération du Rhône (photo) salle Jean Couty dans le 9ème arrondissement le 26 février
Après une intervention à la section du 2ème arrondissement le 16 février puis à Levallois le mercredi 18 février à l’initiative de la fédération des Hauts de Seine, d’autres se succéderont : Section croix-rousse le 2 mars, université permanente du PS à Paris le 15 mars, Vienne le 18 mars, Mornant le 30 mars, Champs sur Marne le 7 avril, 15ème arrondissement de Paris en Avril...
Longue discussion à la réunion de l'association de Serin et du quai Gillet sur l'aménagement des berges de la Saône, le tunnel de la Croix-Rousse et le pont Schuman. Le tout précédé par un exposé toujours aussi pédagogique de Monsieur Legrand.
Un moment bien agréable à la résidence du Clos Jouve à l'occasion des « bugnes » avec l'orchestre de la police municipale de Lyon
Un moment bien agréable à la résidence du Clos Jouve à l'occasion des « bugnes » avec l'orchestre de la police municipale de Lyon (voir photo)
Longue discussion en soirée à la réunion de l'association de Serin et du quai Gillet sur l'aménagement des berges de la Saône, le tunnel de la Croix-Rousse et le pont Schuman. Le tout précédé par un exposé toujours aussi pédagogique de Monsieur Legrand.
Déplacement de Hervé Novelli à la Duchère pour vanter les mérites de sa réforme du régime de l'auto-entrepreneur. Je suis convaincu depuis longtemps par l'action de Maria Nowak et de l'ADIE pour aider les plus modestes à créer leur propre emploi en créant leur entreprise.
Simplifier la création d'entreprise pour la démocratiser et la rendre plus accessible oui, mais le régime de l'auto entrepreneur ne risque-t-il pas de remettre en cause le statut et le beau métier d'artisan ?
Après Vaise en janvier, les questions évoquées lors des réunions de quartier de l'Ouest Croix-Roussien et du Vergoin en février ont très largement porté sur la crise et la situation économique. Baisse du pouvoir d'achat, augmentation massive du chômage, délocalisations ... Que peut faire un état pour faire face à la crise ? Avec quels moyens financiers ? Comment peut–on dépenser sans hésiter des milliards pour sauver des banques et ne rien faire ou presque pour le pouvoir d'achat des plus modestes ? Deux heures de débats qui s'adressaient autant à l'économiste qu'au député.
Après Vaise en janvier, les questions évoquées lors des réunions de quartier de l'Ouest Croix-Roussien et du Vergoin en février ont très largement porté sur la crise et la situation économique. Baisse du pouvoir d'achat, augmentation massive du chômage, délocalisations ... Que peut faire un état pour faire face à la crise ? Avec quels moyens financiers ? Comment peut–on dépenser sans hésiter des milliards pour sauver des banques et ne rien faire ou presque pour le pouvoir d'achat des plus modestes ? Deux heures de débats qui s'adressaient autant à l'économiste qu'au député.
Avec la situation économique, c'est l'éducation qui a été le thème le plus évoqué dans les réunions de quartier de ces derniers mois. Avec des inquiétudes fortes sur l'avenir des IUFM et la suppression des enseignants spécialisés dans l'aide aux enfants en difficultés (RASED). Des inquiétudes que j'ai relayées dans les questions écrites au ministre de l'éducation.
Si vous ne comprenez pas que le problème majeur d'aujourd'hui, c'est le pouvoir d'achat, vous ne comprenez ni la crise ni le mouvement social.
Manifestation à Lyon le matin puis débat l'après midi à l'Assemblée pour le vote final sur texte sur le plan de relance du gouvernement ; extraits :
« M. Sarkozy serait bien inspiré pour une fois, contrairement à ce qu'il a dit la semaine dernière à Provins, de tenir compte de ce qu'il entend. Les revendications qui s'expriment massivement dans tout le pays, et que j'ai entendues ce matin à Lyon dans une manifestation d'une ampleur jamais vue depuis le CPE, sont des réponses pertinentes non seulement à la situation sociale, mais également à la situation économique actuelle.
Si vous ne comprenez pas que le problème majeur d'aujourd'hui, c'est le pouvoir d'achat, vous ne comprenez ni la crise ni le mouvement social. Je suis convaincu que la réalité que vous ne voulez pas voir aujourd'hui vous conduira dans peu de temps à prendre de nouvelles mesures. Je suis même persuadé que vous serez conduit à prendre certaines des mesures que nous, socialistes, avons proposées, face à une crise dont vous avez toujours sous-estimé l'ampleur et dont, plus fondamentalement, vous sous-estimez les causes profondes.
(...)
Le Président de la République serait bien inspiré de réunir, comme l'a suggéré, il y a deux jours, François Hollande, un vrai « Grenelle de la crise ». Peut-être prendrait-il alors la dimension des inquiétudes de nos concitoyens et y répondrait-il en partie.
En présence des présidents des deux plus grandes associations de commerçants lyonnais, Georges Cellerier, président de la fédération des commerçants de la Presqu'île et Jacques Descours président l'association des commerçants de la Croix-Rousse, j'ai tenu un point Presse pour dénoncer une proposition de Loi qui remet en cause le développement du commerce en centre ville et risque de bouleverser profondément les modes de vie.
Qui peut croire qu'un consommateur achètera le dimanche ce qu'il ne peut acheter dans la semaine ! En favorisant la grande distribution à la périphérie des villes au détriment du commerce de centre-ville, l'ouverture des commerces le dimanche ne nuit pas seulement à un développement équilibré et durable de notre agglomération, il risque d'avoir des effets négatifs sur l'emploi.
Cette ouverture dominicale, rejetée aussi bien par les organisations syndicales unanimes que par les représentants des commerçants et des PME (UPA, CGPME), ne correspond ni aux souhaits des consommateurs en Rhône-Alpes qui sont majoritairement contre et encore moins à ceux des salariés... Lorsque j'étais adjoint au maire de Lyon en charge de l'économie et du commerce, je n'ai jamais reçu de demande de la part des commerçants pour aller au-delà des 5 dimanches autorisés par la Loi.
En privilégiant un choix de société où la consommation rythme tous les temps de la vie au détriment de la vie familiale, associative, culturelle, spirituelle,... l'extension du travail le dimanche risque de bouleverser profondément l'équilibre entre la vie familiale et la vie professionnelle. Que deviendront les week-ends en famille ou avec des amis, les fêtes populaires, les marchés, les brocantes, les loisirs culturels, les tournois sportifs, le bénévolat et la vie associative ?
Je m'opposerai fortement à cette ouverture dominicale et déposerai des amendements pour que Lyon (et Lille) ne soient pas concernés par cette Loi si son principe devait malheureusement être adopté.