Inauguration, lundi soir au Théâtre de la Croix-Rousse du nouveau Logo de l'Association des Commerçants et artisans de la Croix-Rousse (ici au coté de son président Jacques Descours, du maire de la Croix-Rousse Dominique Bolliet et du 1er adjoint David Kimelfeld).
Le commerce en centre ville est essentiel à la vie d'une cité. L'action que conduit la municipalité et les associations de commerçants pour développer l'activité économique dans les différents quartiers de la v
ille porte progressivement ses fruits. La dernière enquête commerce montre que pour la première fois le commerce se développe plus rapidement en centre-ville que dans les centres commerciaux périphériques.
Quant au nouveau Logo de l'Association (photo) il reflète parfaitement le dynamisme d'une association profondément ancrée sur le plateau et qui est la plus grande association de commerçants lyonnaise.
M. le président. La parole est à M. Pierre-Alain Muet, inscrit sur l’article 39.
Pierre-Alain Muet. Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État chargé des entreprises
et du commerce extérieur, monsieur le secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, mes
chers collègues, l’article 39 modifie encore une fois le crédit d’impôt recherche, auquel nous
sommes évidemment favorables,...
Hervé Novelli, secrétaire d’État chargé des entreprises et du commerce extérieur. Tant mieux !
J’ai eu peur ! (Sourires.)
Pierre-Alain Muet. ...non seulement parce que nous l’avons créé, mais aussi parce que nous
avons la conviction que le rôle de l’État est de contribuer à ce que les entreprises investissent dans
la recherche. Si une dépense favorise à long terme la croissance économique, c’est bien
l’investissement dans l’innovation.
Mon rapport parlementaire sur les crédits du programme « stratégie budgétaire et modernisation de l’État » a été discuté en commission des finances élargie le 8 novembre et ce vendredi 16 novembre en séance, lors de l’examen des crédits du ministère du budget et de la réforme de l’Etat.
Je critique le changement récurrent des dispositifs de modernisation qui conduit à ce paradoxe que l’on accumule les audits et des projets de réforme et que l’on néglige constamment la mise en oeuvre effective de leurs conclusions. C’est ainsi que les « stratégies ministérielles de réforme » lancées en 2003 ont été remplacées en 2005 par les « audits de modernisation », elles-mêmes remplacées par la « révision générale des politiques publiques » en juillet 2007, sans que l’on ait une idée précise des réformes qui ont suivies ces audits. Quant à la « révision générale des politiques publiques », elle emprunte une part de son appellation et de sa démarche à la réforme de l’Etat lancée par le gouvernement canadien en 1994 : « l’examen des programmes ». Mais la « révision » française est à la réforme canadienne ce qu’est le « Canada Dry » au Whisky : elle en a le goût et la couleur, mais elle n’en a pas le contenu sauf en ce qui concerne la brutalité de son application. La logique d’une telle révision des politiques publiques, c’est de partir des missions de service public pour définir, sans a priori, les moyens qui doivent être mis en œuvre et ajuster les budgets en conséquence. Avec l’objectif à terme de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, le gouvernement fait dériver une réflexion nécessaire sur les gains de productivité de l’administration vers une application d’une norme aussi brutale qu’inefficace. En outre, lorsque le gouvernement canadien a mis en place un tel dispositif, c’était dans le cadre d’une politique effective de réduction des déficits publics. Comment faire accepter une telle réforme quand, dans le même temps, on dépense 15 milliards d’euros de cadeaux fiscaux pour satisfaire les plus fortunés de nos concitoyens.
Nous avons en France une fonction publique remarquablement formée et performante que beaucoup de pays nous envient. Et autant je suis partisan d’une gestion rigoureuse et efficace des finances publiques, autant je trouve absurde de n’avoir que pour seule ambition le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. C’est inefficace, car cela évite de se poser les vraies questions comme l’a fait le gouvernement canadien en son temps. Et c’est insultant pour les fonctionnaires de notre pays qui sont profondément investis dans leur métier et qui ont un sens aigu de leur mission et du service public.
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En pièce jointe, mon intervention
L'intégration des personnes handicapées est au cœur de mes engagements politiques. L'Institut Saint Vincent de Paul dans le 2ème arrondissement (photo) dispense des formations à des jeunes handicapés de l'agglomération lyonnaise. Il les accompagne également sur le chemin de l'emploi. Une délégation des élèves conduite par leur directeur, Yves Robin, est venue visiter l'Assemblée Nationale le 25 octobre. J'ai eu le plaisir de leur rendre visite lundi 12 novembre et de rencontrer les enseignants, les éducateurs et les élèves, accompagné du directeur ainsi que du président de l'Institut, Patrick Puvis de Chavannes.
Une après midi en chansons avec le concert de variétés de la Chanson Croix-Roussienne à l'ALCR
Participation à la cérémonie du 11 Novembre au Parc de la Tête d'or, puis vin d'honneur à la Duchère avec les anciens combattants.
Inauguration avec Gérard Collomb de l'extension de la maternelle des Petits canuts dans le 4ème arrondissement.
Inauguration de la 23ème exposition nationale du travail des meilleurs ouvriers de France à la cité des congrès en présence de Xavier Darcos, ministre de l'Education Nationale, Gérard Collomb et Jean-Jack Queyranne
A l'occasion du salon du patrimoine à Paris, j'ai rendu visite aux exposants des métiers d'arts lyonnais au carrousel du Louvre. Après un salut amical au président de Lyon Croix-Rousse métiers d'arts, François Simon Fustier, ce fut un plaisir de rencontrer Patrick Gabet, sculpteur et doreur dans le 9ème arrondissement de Lyon. J'admire au quotidien son travail en me rendant à mon bureau de l'Hôtel de Ville. La porte récemment refaite située au dessous de mon bureau (photos) est en effet une reproduction de sa main des mascarons et couronne de feuilles d'acanthe qui ornent les portes de la cour intérieure de l'hôtel de ville de Lyon.
Rencontre en mairie du 9ème arrondissement avec les dirigeants des grandes entreprises du quartier de l'Industrie (Orange, Cegid, Electronic Arts et KPMG) en présence d'Hubert Julien Laferrière, maire du 9ème arrondissement. Dans ce quartier en pleine mutation, ils souhaitent la création d'un restaurant inter-entreprise qui pourrait accueillir un millier de salariés. Furent évoquées également la desserte des transports en commun et la possibilité d'une crèche inter-entreprise.
J'ai demandé au développeur de la communauté urbaine en charge du 9èmearrondissement, Thierry Perraud d'étudier les possibilités d'implantation d'un restaurant inter-entreprise et un courrier cosigné avec Hubert Julien Laferrière a été envoyé au président du Sytral pour demander une augmentation des fréquences des lignes desservant le quartier de l'industrie notamment aux heures d'arrivée et de départ des salariés.