Rencontre avec le Proviseur du Lycée Ampère, Monsieur Thierry Saudejaud, et la principale du Collège, Madame Nicole Guidicelli et visite du Lycée et du Collège qui sont autonomes avec des locaux spécifiques et des locaux communs. La Chapelle de la Trinité, édifiée au sein du Collège-Lycée au 17ème siècle, abrite régulièrement des concerts de musique classique.
La Croix-rouge œuvre toute l'année pour venir en aide aux plus démunis et promouvoir le droit international humanitaire. A Lyon, c'est 850 professionnels et 500 bénévoles qui oeuvrent chaque jour pour préparer aux gestes qui sauvent, tenir les postes de secours, réconforter les plus fragiles et leur apporter un peu de chaleur humaine qui manque si cruellement quand on a rien.
La Croix-Rouge œuvre toute l'année pour venir en aide aux plus démunis et promouvoir le droit international humanitaire. A Lyon, c'est 850 professionnels et 500 bénévoles qui oeuvrent chaque jour pour préparer aux gestes qui sauvent, tenir les postes de secours, réconforter les plus fragiles et leur apporter un peu de chaleur humaine qui manque si cruellement quand on n'a rien.
A l'occasion de la 4ème rencontre du comité de soutien « pour Lyon avec Gérard Collomb » consacré au développement économique de Lyon, j'ai évoqué les 3 convictions qui ont guidé mon action :
- Structurer l'action économique en pôles de compétitivité car la concentration dans un même espace d'universités, de laboratoires et d'entreprises est un formidable facteur d'innovation. La force du « cluster » c'est le réseau qui permet à l'idée nouvelle de trouver facilement les interlocuteurs susceptibles de la concrétiser.
- Donner priorité à la requalification des anciennes zones d'activité et au développement de PME et de commerces en centre-ville pour éviter l'étalement urbain et construire une ville durable.
- Entrer pleinement dans la troisième révolution industrielle (la révolution numérique), en donnant priorité a l'éducation et la formation dans toutes ses dimensions.
Le débat qui s'est tenu au sein de pôle numérique de Vaise a été précédé par une visite d'Electronic Arts (photo ci-joint avec le directeur général d'Electronic Arts et le maire du 9ème arrondissement Hubert Julien Laferrière).
En réponse à la question de la mairie du 2ème arrondissement qui nous reprochait d'avoir accordé « deux terrasses ! » sur stationnement dans le 2ème arrondissement : j'ai rappelé que nous avons en effet fortement augmenté le nombre de terrasses accordées sur stationnement en été, parce que cela contribue à la beauté de Lyon, à son attractivité et au plaisir de s'y promener.
C'est en outre parfaitement compatible avec un centre ville en zone trente et, à l'exception de la mairie du 2ème qui préfère les voitures aux terrasses, toutes les mairies d'arrondissement nous suivent sur ce projet. Nous sommes passé de 28 terrasses sur stationnement en 2002 dans l'ensemble de la ville à 232 en 2007. L'arrondissement qui a créé le plus de terrasses de stationnement ces dernières années est le 6ème arrondissement où il n'y avait que 5 terrasses sur stationnement en 2004 et où 91 ont été accordées en 2007.
Nous sommes particulièrement attentifs à la sécurité. Avant de donner un avis favorable, nous sollicitons l'avis des pompiers, de la police municipale et de la direction des déplacements urbains pour garantir la sécurité des piétons. Ces terrasses contribuent d'ailleurs à la sécurité, elles ralentissement la circulation (nous sommes en zone 30) et comme ce sont souvent dans des petites rues, elles contribuent à les animer le soir et à les sécuriser.
Quand on pense au rôle que joue la restauration, le commerce et le plaisir de flâner dans ce cœur de Lyon qu'est la presqu'île, comment ne pas trouver dérisoire cette position absurde d'une mairie d'arrondissement qui s'oppose à toute implantation de terrasse et reproche la suppression de deux places de stationnement sur les 14 200 places de stationnement que comportent le 2ème arrondissement?
Je laisse la mairie du 2ème arrondissement entrer dans l'avenir à reculons. Pour ma part, je continuerai avec Gérard Collomb à faire bouger notre ville avec son temps, avec son époque et à privilégier le piéton et l'enfant sur l'automobile.
Aujourd’hui, vote solennel sur le budget pour 2008. Je voterai contre un budget qui ne propose aucune mesure pour favoriser l’emploi mais au contraire programme la disparition des aides publiques à l’emploi et à l’insertion. Je voterai contre un budget qui ne propose rien pour améliorer le pouvoir d’achat des plus modestes. Je voterai contre une politique qui demande des sacrifices à l’ensemble des salariés et qui, avec le bouclier fiscal, verse un chèque de 50 000 euros en moyenne aux plus fortunés de nos concitoyens. Je voterai contre la politique d’un gouvernement qui préfère l’affrontement avec les syndicats à la négociation sociale.
J’ai passé la journée et la soirée de vendredi dernier à défendre la centaine d’amendements proposés par le groupe socialiste pour introduire quelques préoccupations sociales dans un budget qui les ignore. Vous trouverez les principaux amendements dans la suite de cette note
Inauguration, lundi soir au Théâtre de la Croix-Rousse du nouveau Logo de l'Association des Commerçants et artisans de la Croix-Rousse (ici au coté de son président Jacques Descours, du maire de la Croix-Rousse Dominique Bolliet et du 1er adjoint David Kimelfeld).
Le commerce en centre ville est essentiel à la vie d'une cité. L'action que conduit la municipalité et les associations de commerçants pour développer l'activité économique dans les différents quartiers de la v
ille porte progressivement ses fruits. La dernière enquête commerce montre que pour la première fois le commerce se développe plus rapidement en centre-ville que dans les centres commerciaux périphériques.
Quant au nouveau Logo de l'Association (photo) il reflète parfaitement le dynamisme d'une association profondément ancrée sur le plateau et qui est la plus grande association de commerçants lyonnaise.
M. le président. La parole est à M. Pierre-Alain Muet, inscrit sur l’article 39.
Pierre-Alain Muet. Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État chargé des entreprises
et du commerce extérieur, monsieur le secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, mes
chers collègues, l’article 39 modifie encore une fois le crédit d’impôt recherche, auquel nous
sommes évidemment favorables,...
Hervé Novelli, secrétaire d’État chargé des entreprises et du commerce extérieur. Tant mieux !
J’ai eu peur ! (Sourires.)
Pierre-Alain Muet. ...non seulement parce que nous l’avons créé, mais aussi parce que nous
avons la conviction que le rôle de l’État est de contribuer à ce que les entreprises investissent dans
la recherche. Si une dépense favorise à long terme la croissance économique, c’est bien
l’investissement dans l’innovation.
Mon rapport parlementaire sur les crédits du programme « stratégie budgétaire et modernisation de l’État » a été discuté en commission des finances élargie le 8 novembre et ce vendredi 16 novembre en séance, lors de l’examen des crédits du ministère du budget et de la réforme de l’Etat.
Je critique le changement récurrent des dispositifs de modernisation qui conduit à ce paradoxe que l’on accumule les audits et des projets de réforme et que l’on néglige constamment la mise en oeuvre effective de leurs conclusions. C’est ainsi que les « stratégies ministérielles de réforme » lancées en 2003 ont été remplacées en 2005 par les « audits de modernisation », elles-mêmes remplacées par la « révision générale des politiques publiques » en juillet 2007, sans que l’on ait une idée précise des réformes qui ont suivies ces audits. Quant à la « révision générale des politiques publiques », elle emprunte une part de son appellation et de sa démarche à la réforme de l’Etat lancée par le gouvernement canadien en 1994 : « l’examen des programmes ». Mais la « révision » française est à la réforme canadienne ce qu’est le « Canada Dry » au Whisky : elle en a le goût et la couleur, mais elle n’en a pas le contenu sauf en ce qui concerne la brutalité de son application. La logique d’une telle révision des politiques publiques, c’est de partir des missions de service public pour définir, sans a priori, les moyens qui doivent être mis en œuvre et ajuster les budgets en conséquence. Avec l’objectif à terme de non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, le gouvernement fait dériver une réflexion nécessaire sur les gains de productivité de l’administration vers une application d’une norme aussi brutale qu’inefficace. En outre, lorsque le gouvernement canadien a mis en place un tel dispositif, c’était dans le cadre d’une politique effective de réduction des déficits publics. Comment faire accepter une telle réforme quand, dans le même temps, on dépense 15 milliards d’euros de cadeaux fiscaux pour satisfaire les plus fortunés de nos concitoyens.
Nous avons en France une fonction publique remarquablement formée et performante que beaucoup de pays nous envient. Et autant je suis partisan d’une gestion rigoureuse et efficace des finances publiques, autant je trouve absurde de n’avoir que pour seule ambition le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. C’est inefficace, car cela évite de se poser les vraies questions comme l’a fait le gouvernement canadien en son temps. Et c’est insultant pour les fonctionnaires de notre pays qui sont profondément investis dans leur métier et qui ont un sens aigu de leur mission et du service public.
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En pièce jointe, mon intervention
L'intégration des personnes handicapées est au cœur de mes engagements politiques. L'Institut Saint Vincent de Paul dans le 2ème arrondissement (photo) dispense des formations à des jeunes handicapés de l'agglomération lyonnaise. Il les accompagne également sur le chemin de l'emploi. Une délégation des élèves conduite par leur directeur, Yves Robin, est venue visiter l'Assemblée Nationale le 25 octobre. J'ai eu le plaisir de leur rendre visite lundi 12 novembre et de rencontrer les enseignants, les éducateurs et les élèves, accompagné du directeur ainsi que du président de l'Institut, Patrick Puvis de Chavannes.