Un plan de relance unjambiste, se limitant à l'investissement et faisant l’impasse sur le pouvoir d’achat, est non seulement une politique injuste mais une erreur économique majeure, car elle n’apporte pas les bonnes solutions à la crise et se trompe sur les causes réelles de la récession.
Tel est le thème de mon intervention le 4 décembre en réaction au plan annoncé le matin par Nicoals Sarkozy, puis de la question d'actualité posée au Premier ministre le mardi 9 janvier, enfin de différentes interventions faites à l'Assemblée du 9 décembre au 12 décembre sur le projet de Loi de finances rectificative.
La nomination du président de France Télévisions par le président de la république constitue une régression démocratique et « une profonde rupture avec tout le mouvement d’émancipation des médias qui s’est développé dans tous les pays démocratiques depuis cinquante ans. »
(voir la vidéo et le texte dans la suite de la note)
Débat ce matin à l'Assemblée nationale sur la crise économique et sociale. Une crise qui traduit l’échec d'un libéralisme "qui inspirait, jusqu’à ces derniers mois, tous les discours du gouvernement et qui continue à dicter sa politique, même si la réalité l'amène aujourd’hui à faire, dans la précipitation, parfois l’inverse de ce qu'il inscrivait il y a seulement quelques semaines dans le budget". (voir mon intervention dans la suite de cette note)
Affluence et grandes conférences pour la première édition des Journées de l'économie à Lyon. La mobilisation de l'Association française de science économique et de l'association de professeurs de sciences économique et sociale, jointe au dynamisme des organisateurs sous la houlette de Pascal Lemerrer, ont permis de placer très haut la barre de cette première édition.
J'ai participé avec mon collègue Hervé Mariton, député UMP de la Drôme, à un débat sur les indicateurs économiques dans une démocratie, au cours duquel nous avons évoqué notre rapport parlementaire commun sur ce sujet.